11 octobre 2006
la grande migration...
Depuis une semaine, je sais que rien ne sera plus comme avant. Les premiers signes, pourtant, auraient dû m'alerter. Ce n'était pas un cas isolé, même si parfois on se dit que ça va passer.
On se trompe. Ca ne passe pas, ça empire, même. Ca devient comme une incapacité à respirer, comme des bottes de plomb, comme un fardeau qui vous fait ployer le dos.
Ca se développe comme une hydre, se ramifie, s'insinue.
Ca révolte, ça nargue, ça emprisonne.
Ca censure.
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